Ces quelques lettres nous montrent l'esprit de solidarité et d'entraide d'une maison de négoce (Maison Croizet), qui n'a pas hésité à prendre sur ses propres fonds afin d'améliorer la vie des soldats (ouvriers de la maison) partis au front et à veiller sur leur famille. Comme on peut le lire, chaque soldat touchait 200 Fr par mois.